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Publié : 26 août 2010, 20:56
par FOXx
Oups le virage !!!! :P .

Elle n'a pas de FAM la F6 ???

+++

Publié : 26 août 2010, 21:27
par grandlaurent
FOXx a écrit : Oups le virage !!!!  :P .

Elle n'a pas de FAM la F6 ???

+++
edit :

j'avais pas vu la photo qui trahit le manque d'efficacité du frein à main : le caillou sous la roue.

ben oui, à peine assez efficace. va falloir que je regarde çà ^^

Publié : 26 août 2010, 21:53
par senso
Sinif, c'est presque fini :( Mais que c'est bon de lire ça :)

Publié : 26 août 2010, 22:00
par clemynou
grandlaurent a écrit :
FOXx a écrit : Oups le virage !!!!  :P .

Elle n'a pas de FAM la F6 ???

+++
:blink: ?

c'est pas la F6 qui à fait un tout droit dans le poteau, c'est la berline de Patrick :wowww: gros bobos au final...
AIE!

C'est a dire?

Ton récit est juste MA-GNI-FI-QUE

Publié : 26 août 2010, 22:15
par grandlaurent
clemynou a écrit : <!--QuoteBegin-grandlaurent+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (grandlaurent)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> la berline de Patrick  :wowww:  gros bobos au final...
AIE!

C'est a dire?

Ton récit est juste MA-GNI-FI-QUE [/quote]
Tu saura çà lundi car je ne rédigerai pas demain ni ce week-end...

Publié : 26 août 2010, 22:21
par clemynou
Roh naze :D ^^

Publié : 26 août 2010, 22:44
par senso
grandlaurent a écrit :
Tu saura çà lundi car je ne rédigerai pas demain ni ce week-end...
roooh c'est scandaleux! :P

Publié : 27 août 2010, 00:09
par tonton4L
Je veux la fin moaaaaa :'(

:) :)

++
Fab

Publié : 27 août 2010, 11:05
par freerider_71
tonton4L a écrit : Je veux la fin moaaaaa :'(

:) :)

++
Fab
eh bah t'attends lundi, non mais!!!!! :P :D

Publié : 30 août 2010, 20:46
par grandlaurent
Tout juste 6h15, il est encore temps pour ceux qui ont le sommeil léger de rentrer le linge qui séchait dehors alors qu'il pleut à grosses gouttes, je me précipite… une bonne partie du linge restera assez sec.

Ce matin il y a encore assez de pression dans les canalisations de la douche pour enfin avoir de bonnes conditions de confort, eau chaude comprise car hier soir l'eau n'avait pas eu le temps de chauffer pour les occupants du mobil-home.

Les équipiers se réveillent à leur rythme et chacun se regroupe pour le petit déjeuner installé à sur la table posée sur le carré de pelouse face aux bungalows.
Effectifs réduits aujourd'hui car chacun vaque à ses occupations.
Rémi et Flavien repèrent les 100 kilomètres de piste à parcourir et déterminent un point de rendez-vous pour le repas de midi d'avec 2 équipages qui ne rouleront pas sur les pistes pour ce dernier jour de ballade tout terrain.

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Les jeux divers dans le train roulant avant de la F4 de Quentin le persuadent de rester sur les revêtements goudronnés de même que les signes de fin de vie annoncée du châssis de la GTL de Patrick et Lili les dissuadent tout autant d'en faire trop aujourd'hui.

La tôle de protection du carter boite et moteur à tout de même été franchement pliée sous les actions combinées des nids de poule et du choc contre la « barrière » d'hier.
Et plus inquiétant, un longeron présente un point de pliure près du siège passager.
La géométrie globale de la voiture en a pris un coup…

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la porte ne ferme plus très en face.

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plus tard, une fissure de plancher se fera jour sous les pieds du passager avant.
Le verdict tombera plusieurs jours après pour l'option remplacement du châssis.

De son côté, l'ingénieux Eric remercie les vendeurs de soda de faire des emballages en feuilles d'acier bien pratique pour faire des rustines à la conduite d'échappement qui avait hier soir un bruit digne d'une moto de grosse cylindrée.

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Mathieu angoisse un peu car le temps lui manque pour résoudre la cause du manque de puissance du moteur du cabriolet rouge.
Les bougies sont vérifiées : une sur les quatre était vitrifiée, le nettoyage n'est guère probant.
La voiture tourne manifestement « sur 3 pattes ».

Néanmoins chacun après avoir réglé son dû à la réception du camping se prépare à prendre la route.

Flavien pulvérise même son record de projection de condensats d'échappement… ouch !

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Il ne faut guère de temps avant que la caravane stoppe derrière Mathieu et Mélissa dont la voiture ne veut pratiquement plus avancer.

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Le groupe se sépare, la berline-jp4 blanche et la F6 jaune restent sur place pour que leurs conducteurs dépannent le cabriolet rouge.
Le reste du groupe devance la marche pour rejoindre la prochaine station service.

Dommage pour Mathieu, l'Å“il perçant d'Eric ne fera pas l'impasse sur le contrôle des fils de bougies soigneusement rebranchés dans l'ordre 1-2-3-4, mais assez peu coordonné pour la mécanique qui réclame l'ordre 1-3-4-2 !
En plus le reporter du séjour était présent, dommage !
La voiture redémarre au quart de tour, et aura même droit à un réglage de carburation de main d'expert.

Le temps pour les uns et les autres de déguster une crème glacée au sortir de la station service, et le groupe reformé prendra la route en direction des pistes.
6 voitures sont donc au départ de cette ultime journée de franchissement ; les 2 autres se dirigeront calmement au point de rendez-vous pique-nique du midi.

Direction Sabada sur les routes de montagne rapides que l'on imagine adaptées au contre-la-montre à écouter quelques équipages ayant pris un peu de retard sur la tête du convoi pour faire quelques achats en centre-ville un peu plus tôt.

La première piste du jour commence par un passage assez roulant qui évolue en chemin semi-technique comportant de belles marches mais surtout des ornières profondes de gros 4x4.
Il n'y a pas d'eau stagnante, c'est préférable...

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Il y aura de nombreux passages sableux puis au moins 5 kilomètres « d'autoroute » de graviers avec des conditions de roulage optimales.

Nous retrouvons Patrick, Lili et Quentin comme prévu pour le repas.
Un carré ombragé parmi les arbres sera notre aire déjeuner.

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Fabrice toujours soigneux avec la peinture de sa voiture a vite fait d'éveiller le sens du jeu de quelques-un et de Flavien qui ne manque pas de trouver là une occasion « d'aider »…

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un voiture si sale il faut l'essuyer, hein Patrick ?

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joli travail !

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un peu après, Mathieu trouvera de son côté la cause de ses soucis récurrents : filtre trop efficace (ou trop sollicité c'est à voir…)

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L'après-midi, les crampons de nos voitures trouverons un chemin de forêt très roulant sur environ 20 km pour emboîter le pas sur une autre de 14 km qui mène à un peu de bitume.

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Fabrice ne manque pas d'imagination et possède une arme efficace : un bocal de lave-glace équipé d'une pompe électrique qui se termine par un long tuyau, une véritable lance !

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qui fait son effet : vengeance !

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ensuite, quelques centaines de mètres passés sur une vraie route nous mènent à un sentier vers des champs bordés de thym à l'odeur enivrante,

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mais c'était une erreur d'orientation, donc demi-tour pour un sentier moins roulant.

Depuis au moins cinquante kilomètres, le paysage se modifie profondément et laisse place à une véritable plaine à perte de vue.

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Nous arrivons de nouveau à une piste roulante bien vite passée.
Une peu de route et nous voici sur une piste très roulante.
C'est l'occasion en bordure de cette zone militaire de faire des pointes de vitesse à 80 km/h.
Nous découvrons une autre sensation grisante, la voiture qui chasse de l'arrière dans les virages mais retrouvons bien sagement une vitesse de croisière de 60 km/h.
Le vent latéral dans cette zone des bardenas reales est très violent.

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bientôt, c'est l'occasion d'arrêt pour les photos souvenirs de ses paysages grandioses et un peu écrasants.

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changement de voiture pour le camembert non déclaré dans la voiture d'Eric après la photo, et fin de cette histoire odorante.
Les décors sont dignes de superproductions hollywoodiennes.
Les 43 kilomètres du site se prêtent aux nombreuses autres photos

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La partie piste est arrivée à a fin et les dernières indications du road book nous mènent à Tudella pour rejoindre l'hôtel.

Une petite photo pour illustrer l'atmosphère pour le moins poussiéreuse, avant de stationner les voitures dans le parking souterrain de l'hôtel.

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Le gérant est même fier de nous montrer qu'il vient d'acheter depuis un mois une belle 4L berline blanche à un ami.

Le temps de poser nos bagages, nous nous retrouvons comme à l'accoutumée au bar devant un verre.
A 21h00 nous nous dirigeons à l'étage dans la partie restaurant pour prendre le repas et ses plats dans le forfait pension complète.

Nos assiettes sont remplies d'une paëlla mémorable suivie d'un jarret d'agneau succulent.
L'ensemble est presque trop copieux pour tous.

Cet hôtel conclura la qualité sans cesse croissante de nos hébergements d'étape.