Vendredi 06 août
Au petit matin, les pains et viennoiseries sorties du four accueillent les campeurs matinaux.
Une bonne nouvelle car cette nuit il à fait froid : 5 degrés au réveil, c'est frais, très frrrrais !
Le climat de montagne très contrasté réchauffera bien vite le campement dès l'apparition des premiers rayons de soleil.
le temps pour qu'Eric voit ses craintes confirmées de la crevaison d'une des roues de sa F6.
Une rapide recherche sera aussi vite réalisée que la réparation avec une mèche en plein sur un crampon.
Le temps pour notre méticuleux de service d'enfiler son bob et ses gants puis regarder médusé la pose spectaculaire de la mèche de réparation dans le pneu.
bien vite regonflé
Il est 10h00 quand le cortège prend la route pour faire un crochet de 18 km pour trouver une station service.
Le tracé du road book est repris et nous fais cheminer sur les habituelles routes en lacets, l'occasion pour la 4L d'Eric de perdre à chaque virage un peu du contenu du réservoir d'essence par le bouchon de remplissage…
Les pistes plaisantes défilent et les kilomètres avec.
Au point 334 du road book, une arrêt sur une place de village est nécessaire : Fabrice viens de casser la (seule) manette de crabotage de sa voiture
pendant que la permutation s'organise avec une des manettes elle aussi inutile issue de la voiture à Patrick, je profite du sol régulier pour permuter sur ma F6 les pneus du train avant avec ceux du train arrière.
C'est une occasion rêvée pour Eric et Nicolas qui prennent désormais le relais pour organiser un jeu de rapidité, chacun sa roue pour un travail en simultané : de vrais gosses…
Un peu après, les pistes sont de nouveau sous les crampons.
Nous abordons un chemin forestier très agréable d'au moins 20 kilomètres
La difficulté sur le sol parfois terreux et parsemé de gros cailloux varie entre le facile et le très difficile en montée pour la 2 roues motrices de Flavien dont le moteur s'étouffe aléatoirement et sans raison.
Un peu taquin, notre organisateur du périple nous fais savoir à sa manière que le groupe se traine à son goût…
Il y a régulièrement des rigoles d'écoulement d'eau dont certaines sont de véritables marches.
Plus nous progressons, plus l'odeur ambiante d'humus se renforce : ce chemin semble vraiment travaillé fraîchement…
Ce qui se confirme quand le convoi stoppe à l'arrière d'une imposante niveleuse Caterpillar !
Après quelques dizaines de mètres bouchonnés, le convoi s'engouffre à la suite d'Eric qui viens de profiter d'une clairière où quelques randonneurs sont installés à leur table de pique nique non loin de cette placette idéale pour doubler.
C'était sans voir que sur cette aire ensoleillée, séchait à même le sol une serviette appartenant à l'évidence à ces campeurs.
Le propriétaire se précipitera pour l‘enlever après le passage d'Eric tout en maugréant à bras levés ce maudit pisteur !
Peu de temps après sur route, nous trouvons un champ récemment fauché et nous établissons à l'ombre d'un bosquet pour le repas du midi. Il est 13h30.
l'étape ne s'éternisera pas après l'arrivée manifeste du propriétaire des lieux qui nous expliquera avec insistance et sans complaisance linguistique que nos roues avaient foulé sa pâture et « abimé » l'herbe.
Les pistes retrouvées un peu vite offrent une pause méritoire aux mécaniques et aux équipages.
lili ne perds pas son sens de l'esthétisme !
Certains passages caillouteux sont assez cassants, et la difficulté continue à progresser.
Florian, d'ordinaire si tonique ne perds quand même pas d'occasion pour refaire le plein de sa réserve d'énergie même sur piste…
Une épingle très sévère sera même l'occasion d'une pause photo…
… du pain béni pour la Sinpar de Patrick qui nous fais une démonstration de ripage 4X4 !
bravo !
puis nous retrouvons encore quelques cailloux pour agrémenter la journée.
Le niveau des pistes ayant été graduel jusqu'à cette fin d'après-midi, nous décidons qu'il est temps de rejoindre par la route l'hôtel Can Solé qui nous attend à Pobla Del Segur à 60 km d'ici.
Nous empruntons une habituelle route de montagne sur laquelle les moteurs peinent un peu.
Soudain Eric nous préviens par la CB qu'un bruit l'inquiète et qu'il fait une pause sur le bas côté.
Le convoi qui s'était étiré se regroupe puis nous encadrons la caravane de triangles de signalisation et sortons nos gilets car le lieu n'est pas idéal pour un arrêt.
Oreilles à l'aguet, le claquement semble émaner de la boite de vitesses.
Par précaution Eric fait un appoint d'huile, malgré tout le bruit ne disparaît pas.
L'atmosphère s'épaissit d'un coup et les options de rapatriement se profilent : coup dur.
Eric parle déjà de quitter le groupe et de rentrer à la maison.
Galère pour galère, nous rentrons à régime lent jusqu'à l'hôtel, quitte à casser en chemin.
Il reste 40 km et nous sommes en plein milieu de lacets de montagne.
Près de notre lieu d'arrivée, la vue est superbe sur les rives de ce lac artificiel.
Une fois rejoint l'hôtel, il n'y a pas d'évolution négative du claquement, mais l'inquiétude est toujours présente.
Il est 18h30, nous posons nos bagages
Tout juste le temps d'aller frapper à la porte du garage vu à l'entrée de Pobla Del Segur : ambiance à la Marocaine, les informations contradictoires fusent entre le mécano et son patron qui veut entendre le bruit du claquement.
Nous étions venus à pied, Eric apporte tout de même la voiture.
A l'écoute, les pistes sont peu engageantes : roulement ou arbre primaire.
Le patron propose d'ouvrir, ce qu'Eric et notre petit groupe refusons tout net étant venus avec l'espoir de trouver tout simplement une boite entière.
Déception, ce garage n'en a pas.
Un petit garagiste questionné sur le chemin du retour confirme la difficulté de trouver une boite de vitesses dans ce secteur, tout ceci avec la difficulté linguistique d'avec cette langue catalane – espagnole en prime.
Nicolas s'en sort tout de même bien en traducteur officiel.
Nous revenons à la réception de l'hôtel et nous faisons indiquer un autre garage dans le périmètre, c'est le garage Renault de Tremp que nous avons vu en chemin à 12 km d'ici.
Il est presque 20h, un détachement composé de Flavien et Nicolas fait route pour explorer cette dernière option du jour avant la fermeture de l'atelier.
Heureusement que les horaires calés sur le soleil Espagnol repoussent la fermeture des commerces assez tard.
Contact bien plus chaleureux, mais au final, tout juste un hypothétique espoir de disponibilté demain matin de cette pièce tant recherchée.
Le moral est au plus bas, mais la cohésion du groupe amène les réflexions les plus constructives pour passer ce mauvais cap.
Contacté par téléphone, le président du club 4L Espagnol est même volontaire pour acheter demain matin une boite et la rapatrier depuis Barcelone à 200 km d'ici : chapeau bas !
Notre infortuné compagnon passe par tous les états, mais nous tenons une bonne option avant d'aller manger : faire apporter depuis Montauban à 4 ou 5 heures de route d'ici une autre voiture pour permuter et pouvoir continuer l'aventure.
Il est 21h15, le repas au restaurant de l'hôtel s'annonce comme une des références des tables culinaires de notre périple estival.
Pour un forfait inclus dans le prix de la chambre il y a du choix, les plats sont bons et le ervice est d'une rapidité sans pareil.
Le climat s'apaise et les chambrées se regroupent pour une bonne nuit.
[Récit] les pyrénnées espagnoles 2010
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Samedi 07 août
Il n'y a pas à dire, une bonne nuit dans une chambre d'hôtel s'apprécie.
Douche avec eau chaude à volonté et bain pour certaines, le confort est agréable comparé aux tentes et à la fraîcheur d'hier.
Le groupe se recompose progressivement autour du buffet de petit déjeuner à l'image de notre repas d'hier soir, d'une qualité et d'un choix irréprochable.
Eric à eu confirmation que la solidarité s'organise aussi à Montauban : sa berline sinpar blanche va prendre la route sur un camion plateau avec le beau-père de Mathieu au volant.
Nous organisons une réunion afin de planifier cette journée qui démarre avec un programme adapté aux circonstances.
La mobilisation générale à touché Eric et il tiens à le souligner.
C'est décidé, nous chercherons un lieu propice à une journée de pause autour du lac de retenue du barrage hydroélectrique tout proche.
Nous trouvons un emplacement idéal sur une berge déserte et propice aussi à la mécanique automobile ô combien nécessaire.
Dès l'arrivée, les voitures exemptées de mécanique sont garée à l'emplacement de la tablée,
Et les voitures candidates à l'entretien sont garées au gré des envies de leurs propriétaires.
pendant que la logistique du repas s'organise chez les filles,
le stand mécanique ouvre chez les gars :
Flavien trouve l'origine du bruit de claquement mystérieux
Un tirant de chasse bat la mesure sans vis pour le retenir
Chez Patrick…
Ce n'est guère mieux
Fabrice fait un appoint d'huile de boite et tente de régler plus finement sa carburation
Mathieu n'hésite pas à s'occuper des cardans qui fuient et qui chantent
La F4 de Quentin à une crémaillère flottante et un silent-bloc de tirant de chasse exsangue.
Pour les autres, la partie champêtre s'organise
Cyndie, pour avoir voulu barboter finit en pataugeant dans la gadoue !
Très vite, les jeunes robinson constructeurs bâtissent une cabane
Sous les yeux d'Eric visiblement impressionné…
Puis vient l'heure du repas
pour un peu, on s'imaginerais au milieu d'une partie de pêche.
Même les distractions improvisées sont au rendez-vous avec trois fois rien : une indigne roue à 4 trous pour les trelleurs que nous sommes suffit à créer l'attraction, à qui lancera un caillou à travers le trou central !
Au final, cette matinée restera comme un bon moment de détente !
un petit souvenir, voitures…
…pilotes !
La matinée bucolique et vraiment profitable à toutes et tous se termine, car nous avons été prévenus que « l'assistance » est à l'approche, nous finissons bien vite de plier le campement et sommes juste à l'heure pour accueillir sous les hourra et les applaudissements les deux volontaires du jour : Michel et Isabelle qui n'ont pas hésité à parcourir en presque 5 heures la route qui nous séparait pour rendre ce beau service à Eric, respect !
Eric aux anges et vraiment ému se précipite pour réceptionner son « mulet »
et recharge la F6.
quelle belle pièce ce mulet en fait : une berline carrossée JP4, Eric à du goût !
Le temps de permuter les pneus et transférer entre les voitures la charge allégée au passage, et le groupe se retrouve à la terrasse du café de l'hôtel vers 16h30.
passager non mentionné sur le registre…
Remerciement de notre camarade envers les « saint-bernard » du jour qui n'ont tout de même pas hésité à décommander un rendez-vous : cette solidarité fait chaud au cÅ“ur.
Il est temps pour la troupe de repartir par la route jusqu'au camping Liguerre de Cinca à Meson de Liguerre, 110 km de liaison à faire.
Les freins de la voiture d'Eric le préoccupent et nécessitent un arrêt de contrôle
l'inactivité de la voiture à provoqué un léger grippage des pistons qui retrouvent leur mordant quelques kilomètres après.
Passé les deux tiers du parcours, c'est au tour de la crémaillère de la voiture de Quentin de se desserrer.
le bruit entendu dans la voiture ne diminuera pas pour autant et les derniers 5 kilomètres seront bruyant à l'extrême : démontage de train avant obligatoire dès que possible.
Arrivés au camping, il est un peu tard pour profiter de la piscine.
Le campement de tentes s'établit très vite pendant que quelques opérations mécaniques sont entreprises : changement des amortisseurs arrière pour la « stylisée JP4 d'Eric » au profit de modèles à ressort compensateur car ceux d'origine sont trop mous.
Dépose par Fabrice de la fusée avant droit de la F4 de Quentin.
Les doutes persistants sur le jeu majeur du train roulant trouvent enfin leur épilogue à la dépose…
il était plus que temps de remplacer à neuf !
la liberté de mouvement du triangle elle aussi n'est pas fameuse.
C'est donc à la tombée de la nuit que commence le souper
Il est décidé de planifier au mieux les pistes du lendemain pour en ôter quelques kilomètres.
L'état major Rémi + Eric à l'Å“uvre ! :
Il fait déjà bien nuit quand chacun rejoint son sac de couchage, on ne regarde même plus l'heure…
Il n'y a pas à dire, une bonne nuit dans une chambre d'hôtel s'apprécie.
Douche avec eau chaude à volonté et bain pour certaines, le confort est agréable comparé aux tentes et à la fraîcheur d'hier.
Le groupe se recompose progressivement autour du buffet de petit déjeuner à l'image de notre repas d'hier soir, d'une qualité et d'un choix irréprochable.
Eric à eu confirmation que la solidarité s'organise aussi à Montauban : sa berline sinpar blanche va prendre la route sur un camion plateau avec le beau-père de Mathieu au volant.
Nous organisons une réunion afin de planifier cette journée qui démarre avec un programme adapté aux circonstances.
La mobilisation générale à touché Eric et il tiens à le souligner.
C'est décidé, nous chercherons un lieu propice à une journée de pause autour du lac de retenue du barrage hydroélectrique tout proche.
Nous trouvons un emplacement idéal sur une berge déserte et propice aussi à la mécanique automobile ô combien nécessaire.
Dès l'arrivée, les voitures exemptées de mécanique sont garée à l'emplacement de la tablée,
Et les voitures candidates à l'entretien sont garées au gré des envies de leurs propriétaires.
pendant que la logistique du repas s'organise chez les filles,
le stand mécanique ouvre chez les gars :
Flavien trouve l'origine du bruit de claquement mystérieux
Un tirant de chasse bat la mesure sans vis pour le retenir
Chez Patrick…
Ce n'est guère mieux
Fabrice fait un appoint d'huile de boite et tente de régler plus finement sa carburation
Mathieu n'hésite pas à s'occuper des cardans qui fuient et qui chantent
La F4 de Quentin à une crémaillère flottante et un silent-bloc de tirant de chasse exsangue.
Pour les autres, la partie champêtre s'organise
Cyndie, pour avoir voulu barboter finit en pataugeant dans la gadoue !
Très vite, les jeunes robinson constructeurs bâtissent une cabane
Sous les yeux d'Eric visiblement impressionné…
Puis vient l'heure du repas
pour un peu, on s'imaginerais au milieu d'une partie de pêche.
Même les distractions improvisées sont au rendez-vous avec trois fois rien : une indigne roue à 4 trous pour les trelleurs que nous sommes suffit à créer l'attraction, à qui lancera un caillou à travers le trou central !
Au final, cette matinée restera comme un bon moment de détente !
un petit souvenir, voitures…
…pilotes !
La matinée bucolique et vraiment profitable à toutes et tous se termine, car nous avons été prévenus que « l'assistance » est à l'approche, nous finissons bien vite de plier le campement et sommes juste à l'heure pour accueillir sous les hourra et les applaudissements les deux volontaires du jour : Michel et Isabelle qui n'ont pas hésité à parcourir en presque 5 heures la route qui nous séparait pour rendre ce beau service à Eric, respect !
Eric aux anges et vraiment ému se précipite pour réceptionner son « mulet »
et recharge la F6.
quelle belle pièce ce mulet en fait : une berline carrossée JP4, Eric à du goût !
Le temps de permuter les pneus et transférer entre les voitures la charge allégée au passage, et le groupe se retrouve à la terrasse du café de l'hôtel vers 16h30.
passager non mentionné sur le registre…
Remerciement de notre camarade envers les « saint-bernard » du jour qui n'ont tout de même pas hésité à décommander un rendez-vous : cette solidarité fait chaud au cÅ“ur.
Il est temps pour la troupe de repartir par la route jusqu'au camping Liguerre de Cinca à Meson de Liguerre, 110 km de liaison à faire.
Les freins de la voiture d'Eric le préoccupent et nécessitent un arrêt de contrôle
l'inactivité de la voiture à provoqué un léger grippage des pistons qui retrouvent leur mordant quelques kilomètres après.
Passé les deux tiers du parcours, c'est au tour de la crémaillère de la voiture de Quentin de se desserrer.
le bruit entendu dans la voiture ne diminuera pas pour autant et les derniers 5 kilomètres seront bruyant à l'extrême : démontage de train avant obligatoire dès que possible.
Arrivés au camping, il est un peu tard pour profiter de la piscine.
Le campement de tentes s'établit très vite pendant que quelques opérations mécaniques sont entreprises : changement des amortisseurs arrière pour la « stylisée JP4 d'Eric » au profit de modèles à ressort compensateur car ceux d'origine sont trop mous.
Dépose par Fabrice de la fusée avant droit de la F4 de Quentin.
Les doutes persistants sur le jeu majeur du train roulant trouvent enfin leur épilogue à la dépose…
il était plus que temps de remplacer à neuf !
la liberté de mouvement du triangle elle aussi n'est pas fameuse.
C'est donc à la tombée de la nuit que commence le souper
Il est décidé de planifier au mieux les pistes du lendemain pour en ôter quelques kilomètres.
L'état major Rémi + Eric à l'Å“uvre ! :
Il fait déjà bien nuit quand chacun rejoint son sac de couchage, on ne regarde même plus l'heure…
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laurent tu a oublié des infos ^^
je suis rentré dans le camping en roulant... mais je suis arrivé aux tentes en étant tracté :(
et la veille j'avai deja reserré ma cremaillere la ou fabrice reparai sa commande sinpar, puis suite a la panne d'Eric, nous l'avions laissé partir en avance, et je me suis fait un poil plaisir sur des routes sinueuses a souhait pour les rattraper peu avant l'arrivée sur les grandes lignes droites.
c'etai mon dernier plaisir avant les soucis de ce jour de resumé ^^
je suis rentré dans le camping en roulant... mais je suis arrivé aux tentes en étant tracté :(
et la veille j'avai deja reserré ma cremaillere la ou fabrice reparai sa commande sinpar, puis suite a la panne d'Eric, nous l'avions laissé partir en avance, et je me suis fait un poil plaisir sur des routes sinueuses a souhait pour les rattraper peu avant l'arrivée sur les grandes lignes droites.
c'etai mon dernier plaisir avant les soucis de ce jour de resumé ^^
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beau cumul en effet :-°xscal a écrit : laurent tu a oublié des infos ^^
je suis rentré dans le camping en roulant... mais je suis arrivé aux tentes en étant tracté :(
et la veille j'avai deja reserré ma cremaillere la ou fabrice reparai sa commande sinpar, puis suite a la panne d'Eric, nous l'avions laissé partir en avance, et je me suis fait un poil plaisir sur des routes sinueuses a souhait pour les rattraper peu avant l'arrivée sur les grandes lignes droites.
c'etai mon dernier plaisir avant les soucis de ce jour de resumé ^^
dommage, je n'avais pas de photos pour illustrer
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Dimanche 08 août
Lever en douceur, sans fraîcheur ni humidité matinale, çà y est le rythme est trouvé pour les campeurs désormais bien rôdés aux petits déjeuner communautaires et dans cette sympathique ambiance familiale.
Chacun s'installe pour le mieux et profite des rayons du soleil pour sécher quelques serviettes de bain…
Pendant que les campeurs se dirigent à tour de rôle vers les douches moins accueillantes que la veille, il reste quelques finitions de préparation pour la 4L blanche d'Eric.
Remplacement des courroies, installation d'une marche forcée pour le ventilateur, colmatage des soufflets de cardan au film étirable, pour finir apte aux pistes d'aujourd'hui.
De son côté, Nicolas règle l'avance à l'allumage sur la F4 de Quentin.
Enfin, le groupe prend congé auprès de la réception dont les personnels connaissant bien le français, c'est agréable !
Avant de prendre la route, je change le condensateur d'allumeur sur la F4 de Quentin qui se remets à caler un peu trop facilement à l'identique de la panne qu'il avait eu hier à la porte du camping et finir voiture tractée à la barre de remorquage pour rejoindre l ‘emplacement réservé à notre groupe de campeurs : opération rapide qui sera un succès.
Nous reprenons la route avec la perspective de trouver des pistes qui comportent des passages à gué à travers quelques cours d'eau.
40 km de pistes se présentent.
La piste qui devient très vite technique et caillouteuse nous mène jusqu'au fameux et tant attendu passage à gué.
La majorité des pisteurs ne résiste pas à l'appel du « trekking à crampons »
On évalue, on repère...
Cette descente route avec une remontée possible sur le coteau rocheux très plissé et pentu est un terrain de jeu apprécié : on se lance !
le franchissement est un vrai plaisir.
Il y a ensuite quelques passages totalement dédiés au franchissement et Patrick illustre bien l'idée générale…
Il est bientôt l'heure de la pause repas et juste après avoir entrepris le franchissement du deuxième et dernier ruisseau de la journée, nous revenons sur nos pas pour nous installer manger.
Quelques-uns feront faire des passages à leur voiture sur une butte de terre toute proche et manifestement dédié aux essais…
A la fin du repas, Eric à même été bien surpris par le restylage de calandre effectué à son insu avec un élément (Sinpar ?) qui traînait dans un bosquet tout proche.
Quelques noms d'oiseaux ont fusé…
le nouveau passage du ruisseau sera chez certains assez spectaculaire.
l'enchaînement de l'après-midi nous offrira à voir des paysages magnifiques parsemés de quelques curiosités que seul les secteurs montagneux savent produire.
les pistes caillouteuses par moment très cassantes (Patrick se souvient encore d'un certain nid de poule) ont une fin très roulante à l'approche des falaises.
La dernière partie jusqu'au plateau d'observation est une véritable autoroute que personne ne pourra s'empêcher de prendre à vive allure.
c'est l'occasion de prendre quelques clichés souvenir.
C'est une vue unique d'un cirque naturel avec des contreforts érodés dont les saignées et les corniches servent de nichoir aux vautours protégés de ce parc naturel.
Une fois admiré la beauté du site, une légère descente nous amène jusqu'aux ruines du château de Marcuello et nous donne l'occasion de clichés de groupe comme nous les apprécions tant.
…
Richard veut-il apprendre à voler ?
de nouveau en route, le chemin très roulant qui va ramener le groupe sur la route avant le camping, se transforme en véritable autoroute très roulante avec des graviers tout de même glissants.
mais que s'est-il passé ?
La voiture de Patrick et Lili à eu un souci…
les derniers kilomètres de route nous honorent toujours de superbes paysages.
une fois arrivés au camping de Loarre où les bungalows et même un mobil-home nous attendent en contrebas dans la vallée, nous rejoindrons bien vite les tables du restaurant.
Pas de mécanique ce soir, à peine arrivés il faut poser les valises.
la pause apéro sera un peu laborieuse car le personnel de la supérette / bar /restaurant tout comme du camping ne fait aucun effort et expédie les client (surtout français…) avec mauvaise volonté.
Néanmoins la bonne humeur du groupe finit par être communicative et déride la serveuse qui pouffe de rire regarder Eric bruiter avec réalisme tous les animaux potentiels du menu que nous allons commander et dont nous n'avons aucune traduction pour faire notre choix.
Tout de même l'entrée unique, collective et pantagruélique participe à l'ambiance d'auberge familiale de cet établissement, ce qui rattrape les petits soucis divers.
Lever en douceur, sans fraîcheur ni humidité matinale, çà y est le rythme est trouvé pour les campeurs désormais bien rôdés aux petits déjeuner communautaires et dans cette sympathique ambiance familiale.
Chacun s'installe pour le mieux et profite des rayons du soleil pour sécher quelques serviettes de bain…
Pendant que les campeurs se dirigent à tour de rôle vers les douches moins accueillantes que la veille, il reste quelques finitions de préparation pour la 4L blanche d'Eric.
Remplacement des courroies, installation d'une marche forcée pour le ventilateur, colmatage des soufflets de cardan au film étirable, pour finir apte aux pistes d'aujourd'hui.
De son côté, Nicolas règle l'avance à l'allumage sur la F4 de Quentin.
Enfin, le groupe prend congé auprès de la réception dont les personnels connaissant bien le français, c'est agréable !
Avant de prendre la route, je change le condensateur d'allumeur sur la F4 de Quentin qui se remets à caler un peu trop facilement à l'identique de la panne qu'il avait eu hier à la porte du camping et finir voiture tractée à la barre de remorquage pour rejoindre l ‘emplacement réservé à notre groupe de campeurs : opération rapide qui sera un succès.
Nous reprenons la route avec la perspective de trouver des pistes qui comportent des passages à gué à travers quelques cours d'eau.
40 km de pistes se présentent.
La piste qui devient très vite technique et caillouteuse nous mène jusqu'au fameux et tant attendu passage à gué.
La majorité des pisteurs ne résiste pas à l'appel du « trekking à crampons »
On évalue, on repère...
Cette descente route avec une remontée possible sur le coteau rocheux très plissé et pentu est un terrain de jeu apprécié : on se lance !
le franchissement est un vrai plaisir.
Il y a ensuite quelques passages totalement dédiés au franchissement et Patrick illustre bien l'idée générale…
Il est bientôt l'heure de la pause repas et juste après avoir entrepris le franchissement du deuxième et dernier ruisseau de la journée, nous revenons sur nos pas pour nous installer manger.
Quelques-uns feront faire des passages à leur voiture sur une butte de terre toute proche et manifestement dédié aux essais…
A la fin du repas, Eric à même été bien surpris par le restylage de calandre effectué à son insu avec un élément (Sinpar ?) qui traînait dans un bosquet tout proche.
Quelques noms d'oiseaux ont fusé…
le nouveau passage du ruisseau sera chez certains assez spectaculaire.
l'enchaînement de l'après-midi nous offrira à voir des paysages magnifiques parsemés de quelques curiosités que seul les secteurs montagneux savent produire.
les pistes caillouteuses par moment très cassantes (Patrick se souvient encore d'un certain nid de poule) ont une fin très roulante à l'approche des falaises.
La dernière partie jusqu'au plateau d'observation est une véritable autoroute que personne ne pourra s'empêcher de prendre à vive allure.
c'est l'occasion de prendre quelques clichés souvenir.
C'est une vue unique d'un cirque naturel avec des contreforts érodés dont les saignées et les corniches servent de nichoir aux vautours protégés de ce parc naturel.
Une fois admiré la beauté du site, une légère descente nous amène jusqu'aux ruines du château de Marcuello et nous donne l'occasion de clichés de groupe comme nous les apprécions tant.
…
Richard veut-il apprendre à voler ?
de nouveau en route, le chemin très roulant qui va ramener le groupe sur la route avant le camping, se transforme en véritable autoroute très roulante avec des graviers tout de même glissants.
mais que s'est-il passé ?
La voiture de Patrick et Lili à eu un souci…
les derniers kilomètres de route nous honorent toujours de superbes paysages.
une fois arrivés au camping de Loarre où les bungalows et même un mobil-home nous attendent en contrebas dans la vallée, nous rejoindrons bien vite les tables du restaurant.
Pas de mécanique ce soir, à peine arrivés il faut poser les valises.
la pause apéro sera un peu laborieuse car le personnel de la supérette / bar /restaurant tout comme du camping ne fait aucun effort et expédie les client (surtout français…) avec mauvaise volonté.
Néanmoins la bonne humeur du groupe finit par être communicative et déride la serveuse qui pouffe de rire regarder Eric bruiter avec réalisme tous les animaux potentiels du menu que nous allons commander et dont nous n'avons aucune traduction pour faire notre choix.
Tout de même l'entrée unique, collective et pantagruélique participe à l'ambiance d'auberge familiale de cet établissement, ce qui rattrape les petits soucis divers.
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