Eh moi qui t'attendait...safir03 a écrit : Pas heureuse, j'ai fais un malaise à midi, je suis complètement flagada
Heureusement je vais passer la journée de demain à dormir.
[TOPIC] Pas heureux!!!!
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joys
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Marine
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safir03
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safir03
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Marre marre marre de cette 2CV qui roule pas encore.
En plus je suis verte
car je viens de voir que la trelle de mon grand père avait l'équipement spécial sur sa trelle.
Pourquoi lui et pas moi.
En plus faut que je fasse la vidange de ma 206, je vais encore avoir mal au dos.
Il faut aussi que je change la pompe à eau de la clio d'un copain.
Oh ma trelle je t'aime, toi qui est si simple à comprendre, même si tu me fait tourner en bourrique par fois.
En plus je suis verte
car je viens de voir que la trelle de mon grand père avait l'équipement spécial sur sa trelle.Pourquoi lui et pas moi.
En plus faut que je fasse la vidange de ma 206, je vais encore avoir mal au dos.
Il faut aussi que je change la pompe à eau de la clio d'un copain.
Oh ma trelle je t'aime, toi qui est si simple à comprendre, même si tu me fait tourner en bourrique par fois.
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enzo
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safir03
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je dois rester allonger pour pas que ca me tire sur les points.lol
Pour la 2cv j'ai remis la goulotte d'essence allongée par terre, en suite j'ai refixé la planche de bord,avachie sur la banquette.
Pour la 206, je sens qu'elle va attendre grouch en se contentant du complément d'huile
Pour la clito, ben le copain atteindra encore un peu si il veut que je lui fasse, de toute facon c'est ca ou 500€ pour lui.
En plus j'ai repris les cours, toute vasseuse avec les médocs.
Encore 2 semaines sans forcer.....
Pour la 2cv j'ai remis la goulotte d'essence allongée par terre, en suite j'ai refixé la planche de bord,avachie sur la banquette.
Pour la 206, je sens qu'elle va attendre grouch en se contentant du complément d'huile
Pour la clito, ben le copain atteindra encore un peu si il veut que je lui fasse, de toute facon c'est ca ou 500€ pour lui.
En plus j'ai repris les cours, toute vasseuse avec les médocs.
Encore 2 semaines sans forcer.....
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clem92
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1moreben
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Benjamin Darras Montmorency, le 2 Avril 2007
49 bis, rue des Gallérands
95160 Montmorency
à
Madame le Commissaire de Police
Objet : contestation de contravention et signalement d'une procédure que j'estime abusive.
Madame,
J'ai tenté de vous joindre par téléphone pour vous exposer la situation qui suit, mais votre secrétariat a insisté pour que j'attende votre appel, ce que j'ai fait sans résultat. J'aurais pourtant préféré vous consulter avant de donner une suite plus étendue à la demande présentée ci-après.
Le dimanche 1 Avril 2007 je circulais sur la route nationale 1 en provenance de Paris et en direction de Montmorency, lieu de ma résidence, lorsque le pneu arrière de mon scooter a explosé et déjanté.
J'étais alors à la hauteur du Mac Donald de Sarcelles.
Il était 03.54 du matin, la réputation du quartier étant très mauvaise et mon scooter étant neuf (acheté le 9 février 2007) j'ai choisi de le pousser jusque chez moi.
Je progressais lentement en raison de la pluie battante et de l'absence d'accotement. Les véhicules roulant à grande vitesse, j'ai craint de ne pas être très visible et d'être fauché par l'un d'eux.
Conformément aux recommandations données aux piétons, et confirmées par les pompiers lors de mon stage de préparation à l'entrée dans le corps des pompiers volontaires, j'ai traversé la nationale pour la remonter de l'autre côté, en faisant face aux véhicules cette fois.
Depuis le début, j'avais actionné mes feux de détresse et je faisais des appels de phare aux véhicules venant dans ma direction pour les avertir de ma présence.
Un véhicule de Police s'est arrêté à ma hauteur. Comme je les avais vus passer en sens inverse, j'ai d'abord cru qu'il venait à mon aide.
Un des trois policiers m'a alors demandé pourquoi je roulais à contre sens.
Je lui ai répondu que je ne roulais pas à contre sens, mais que je poussais mon scooter dont le pneu arrière était explosé.
Il m'a aussitôt demandé si j'avais bu, je lui ai répondu que j'avais bu un verre de bière.
Il m'a demandé de souffler dans un alcotest, ce que j'ai fait. Il m'a déclaré que le résultat était positif.
Le policier m'a demandé de garer mon scooter dans la station-service désaffectée voisine.
À ma grande surprise, il m'a ensuite menotté puis embarqué dans le véhicule de Police, qui a démarré en trombe, sirène et gyrophare activés.
J'ai vainement demandé à être attaché avec la ceinture de sécurité car le véhicule roulant à très grande vitesse sous la pluie et ne s'arrêtant à aucun feu rouge, je redoutais un accident. De même, j'ai vainement tenté d'expliquer les raisons pour lesquelles je poussais mon scooter en panne en sens inverse de la circulation.
Je les ai aussi priés de rouler moins vite car je me sentais en danger et je ne comprenais pas ce qui motivait, menottes, gyrophare, sirène (à 4 heures du matin) et conduite que je jugeais extrême et dangereuse.
J'ai finalement été conduit dans un commissariat, Sarcelles (je crois).
Toujours menotté, j'ai été sommé de souffler à deux reprises dans un appareil de test dont les résultats ont été inférieurs aux limites tolérées. Le premier résultat était à 0.23. Manifestement déçus, les policiers m'invectivèrent pour que je souffle plus fort (je passe sur les métaphores douteuses utilisées à mon encontre.) Le nouveau résultat était à 0.22.
L'un des policiers m'a annoncé que mon scooter allait être immobilisé ce dont ses collègues l'ont dissuadé. Ils m'ont finalement reconduit là où mon scooter était stationné.
Là, à ma grande surprise, ils ont dressé une contravention : Cas N° 4 bis à mon encontre, accompagné d'un retrait de points du permis de conduire. Nature de la contravention, « circulation d'un véhicule en sens interdit, prévu et réprimé par l'article R412-28 du CR. » J'ai aussi dû signer un document rose que je n'ai pas réussi à identifier et dont on ne m'a pas expliqué le contenu. Dans l'obscurité, je n'ai pas pu le lire.
Je pense que tout ceci résulte d'une grande incompréhension de la situation de détresse dans laquelle je me trouvais. Alors que j'attendais de l'aide des forces de Police, j'ai été traité comme un délinquant et pénalisé comme si j'enfreignais la loi alors que j'étais en panne, que je tentais de me protéger et de rentrer chez moi.
En conséquence, je vous serais reconnaissant de bien vouloir étudier ma situation avec bienveillance et de reconsidérer la pénalité dont je fais injustement l'objet.
Alors que j'espérais une protection de ma personne et de mon véhicule, j'ai été abandonné sur place, dans la nuit et sous la pluie, dans la même situation de détresse que celle dans laquelle la police m'avait trouvé, mais de plus, stressé par cette interpellation que j'estime inadéquate et dans tous les cas humiliante et hors de proportion.
Je compte sur votre compréhension et je fais confiance à votre appréciation pour juger des faits et de leur mésinterprétation. J'espère que vous pourrez rapidement donner une suite favorable à ma demande afin d'éviter une procédure plus longue.
Benjamin Darras
49 bis, rue des Gallérands
95160 Montmorency
à
Madame le Commissaire de Police
Objet : contestation de contravention et signalement d'une procédure que j'estime abusive.
Madame,
J'ai tenté de vous joindre par téléphone pour vous exposer la situation qui suit, mais votre secrétariat a insisté pour que j'attende votre appel, ce que j'ai fait sans résultat. J'aurais pourtant préféré vous consulter avant de donner une suite plus étendue à la demande présentée ci-après.
Le dimanche 1 Avril 2007 je circulais sur la route nationale 1 en provenance de Paris et en direction de Montmorency, lieu de ma résidence, lorsque le pneu arrière de mon scooter a explosé et déjanté.
J'étais alors à la hauteur du Mac Donald de Sarcelles.
Il était 03.54 du matin, la réputation du quartier étant très mauvaise et mon scooter étant neuf (acheté le 9 février 2007) j'ai choisi de le pousser jusque chez moi.
Je progressais lentement en raison de la pluie battante et de l'absence d'accotement. Les véhicules roulant à grande vitesse, j'ai craint de ne pas être très visible et d'être fauché par l'un d'eux.
Conformément aux recommandations données aux piétons, et confirmées par les pompiers lors de mon stage de préparation à l'entrée dans le corps des pompiers volontaires, j'ai traversé la nationale pour la remonter de l'autre côté, en faisant face aux véhicules cette fois.
Depuis le début, j'avais actionné mes feux de détresse et je faisais des appels de phare aux véhicules venant dans ma direction pour les avertir de ma présence.
Un véhicule de Police s'est arrêté à ma hauteur. Comme je les avais vus passer en sens inverse, j'ai d'abord cru qu'il venait à mon aide.
Un des trois policiers m'a alors demandé pourquoi je roulais à contre sens.
Je lui ai répondu que je ne roulais pas à contre sens, mais que je poussais mon scooter dont le pneu arrière était explosé.
Il m'a aussitôt demandé si j'avais bu, je lui ai répondu que j'avais bu un verre de bière.
Il m'a demandé de souffler dans un alcotest, ce que j'ai fait. Il m'a déclaré que le résultat était positif.
Le policier m'a demandé de garer mon scooter dans la station-service désaffectée voisine.
À ma grande surprise, il m'a ensuite menotté puis embarqué dans le véhicule de Police, qui a démarré en trombe, sirène et gyrophare activés.
J'ai vainement demandé à être attaché avec la ceinture de sécurité car le véhicule roulant à très grande vitesse sous la pluie et ne s'arrêtant à aucun feu rouge, je redoutais un accident. De même, j'ai vainement tenté d'expliquer les raisons pour lesquelles je poussais mon scooter en panne en sens inverse de la circulation.
Je les ai aussi priés de rouler moins vite car je me sentais en danger et je ne comprenais pas ce qui motivait, menottes, gyrophare, sirène (à 4 heures du matin) et conduite que je jugeais extrême et dangereuse.
J'ai finalement été conduit dans un commissariat, Sarcelles (je crois).
Toujours menotté, j'ai été sommé de souffler à deux reprises dans un appareil de test dont les résultats ont été inférieurs aux limites tolérées. Le premier résultat était à 0.23. Manifestement déçus, les policiers m'invectivèrent pour que je souffle plus fort (je passe sur les métaphores douteuses utilisées à mon encontre.) Le nouveau résultat était à 0.22.
L'un des policiers m'a annoncé que mon scooter allait être immobilisé ce dont ses collègues l'ont dissuadé. Ils m'ont finalement reconduit là où mon scooter était stationné.
Là, à ma grande surprise, ils ont dressé une contravention : Cas N° 4 bis à mon encontre, accompagné d'un retrait de points du permis de conduire. Nature de la contravention, « circulation d'un véhicule en sens interdit, prévu et réprimé par l'article R412-28 du CR. » J'ai aussi dû signer un document rose que je n'ai pas réussi à identifier et dont on ne m'a pas expliqué le contenu. Dans l'obscurité, je n'ai pas pu le lire.
Je pense que tout ceci résulte d'une grande incompréhension de la situation de détresse dans laquelle je me trouvais. Alors que j'attendais de l'aide des forces de Police, j'ai été traité comme un délinquant et pénalisé comme si j'enfreignais la loi alors que j'étais en panne, que je tentais de me protéger et de rentrer chez moi.
En conséquence, je vous serais reconnaissant de bien vouloir étudier ma situation avec bienveillance et de reconsidérer la pénalité dont je fais injustement l'objet.
Alors que j'espérais une protection de ma personne et de mon véhicule, j'ai été abandonné sur place, dans la nuit et sous la pluie, dans la même situation de détresse que celle dans laquelle la police m'avait trouvé, mais de plus, stressé par cette interpellation que j'estime inadéquate et dans tous les cas humiliante et hors de proportion.
Je compte sur votre compréhension et je fais confiance à votre appréciation pour juger des faits et de leur mésinterprétation. J'espère que vous pourrez rapidement donner une suite favorable à ma demande afin d'éviter une procédure plus longue.
Benjamin Darras
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