Tiens,
Il y a du neuf ici !
Pas moyen de faire la sieste encore cette année
Quelques passionnés ont décidé de barouder sur mon domaine.
Maintenant que je suis réveillée, je vais laisser Laurent vous faire profiter du périple…
Amis Lecteurs,
J’ai plaisir à vous faire partager le vécu de quelques jours de « baroud » qu’une équipe de sympathiques passionnés à décidé de vivre encore cette année à l’initiative de Patrick :
Euh pardon, Patrick :
ou encore, l’indissociable couple Pat et Lili !
L’équipée est prête à en découdre dans les Alpes et la neige annoncée, voire même attendue.
Le ticket d’entrée est donc cette année de venir au volant de véhicules 4X4, certaines pistes des alpes Italiennes confirmeront, nous le savons par avance, cette nécessité.
Il y aura donc,
Patrick et Lili
Marine et Flavien
Fabrice et son fils Florian
Laurent
Nous seront rejoints ce soir par Eric et son fils Paul
Guillaume
Mickaël et son frère Andrej
Nous ferons une halte familiale chez Martine et Jean-Marc
et serons même accompagnés par Frédérique et Eric au début du périple
C’est donc de bon matin ce dimanche 21 juillet qu’une partie de la bande se regroupe pour un départ « parisien » près de Versailles.
Pour l’occasion d’autres passionnés, Cyndie et Nicolas, nous font le plaisir de venir dire un petit bonjour, avec un pincement au cœur de ne pouvoir participer…(à charge de revanche )
Hier, Eric, Paul et Guillaume avaient fait route et profité eux aussi de route escarpées en secteurs montagneux, côté Sud !
A notre tour, le plein fait, il est grand temps de prendre la route pour arriver à une heure raisonnable dans la soirée chez nos amis Savoyards Martine et Jean-Marc
A notre grande surprise, nous croisons en chemin un autre passionné matinal qui à bien fait lui aussi de profiter de la faible circulation pour acheminer son bolide…
Flavien mène le pas, ou plutôt bride les autres… le temps de finir les 200 km qui lui manquent pour finir le rodage du moteur de sa F6 tout juste restaurée.
Une petite inquiétude, la manomètre de température de cette belle F6 jaune s’affole, et Flavien tout autant ! (le temps confirmera que les valeurs inhabituellement élevées sont consécutives au placement de sonde à l’arrière du haut moteur)
Lors d’un arrêt, Marine à pris le volant de la F6 jaune tournesol et c’est elle qui réagit lorsqu’à la CB Patrice entame un curieux décompte :
5, (silence) 4, (silence) 3, (silence) 2, (silence)… nous avons bien compris qu’il égraine les derniers kilomètres avant la fin du rodage libérateur pour les suiveurs !
puis… 0 ! : la barrière invisible est franchie, et tel un lévrier dans les starting-blocks, la mécanique bondit pour atteindre les 105 km/h !
après quelques pointes de vitesse, peu au dessus de 110, le régime de croisière fini par s’établir.
En effet ces valeurs sont plus qu’honorables pour les boites de vitesse démultipliées de nos anciennes baroudeuses, nous le savons et continuons à privilégier la longévité car le périple n’est pas encore vraiment commencé.
L’heure de la pause repas s’annonce, nous trouvons donc une aire de repos qui peux offrir un peu d’ombre aux machines et aux pilotes.
Il faudra gravir un trottoir de 20cm, l’occasion de faire un peu de jardinage pour certains pas encore habitués au pilotage de leur 4x4 (n’est-ce pas Marine ?) ou pour certains automobilistes en véhicules contemporains de bien racler les bas de pare-choc à la descente et d’offrir un moment de sourire aux spectateurs…
Le « catering » est comme d’habitude le prétexte à la détente et l’amitié
Flavien profite de la pause pour recaler la durit d’essence un peu proche du pneu arrière.
Le Flan en dessert peu présentable mais avec des morceaux au goût délicieux
La route se poursuit, puis vers 14h00, d’un coup Fabrice agrippe le micro de la CB pour annoncer à Marine qui conduit : sors, prend l’aire !
Nous sommes en effet tout juste à la hauteur d’une aire d’autoroute, et un « pépin » s’annonce…
L’alternateur de la F4 ne charge plus, et Fabrice vient d’entendre un désagréable bruit métallique.
Et pour cause, la vis principale du support et sa boulonnerie ont disparu, tout comme la courroie retrouvée lacérée et posée au hasard dans le compartiment moteur.
Séance improvisation pour réparer sous plus de 35°C à l’ombre mais localement sans ombre !
20 minutes après le convoi repart et retrouve Marine et Flavien à l’aire suivante
La route se poursuit et nous mène plus tard au bord du lac d’Annecy
L’inquiétude de Flavien sur le comportement incertain de la tenue de route de sa voiture l’obligera par 2 fois à faire une pause pour corriger « en vitesse » le parallélisme de la F6 et son conducteur désormais brocardé : Piou-Piou ! (et le poussin pi-ou, et le poussin pi-ou…. )
Nous arrivons en fin d’après midi à Grignon chez nos amis Martine et Jean-Marc.
Les retrouvailles sont l’occasion de longues discussions 4L (bien sûr), sans oublier de prendre un peu de temps pour préparer le bivouac du soir.
nous serons rejoints bien vite par les invités surprise du début de baroud, Frédérique et Eric.
la nuit approchant, nous accueillons enfin Mickaël et Andrej.
Mickaël a fait route depuis la veille en Slovénie, sans avoir oublié de faire un détour pour embarquer depuis l ‘aéroport de Nice son frère Andrej venu d’Amsterdam.
Les heures passent, la nuit tombe et la bonne humeur laisse place à la fatigue de la route, il est temps de rejoindre le couchage.
[récit] les ALPES 2013 en Baroud !
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Re: [récit] les ALPES 2013 en Baroud !
Le récit commence bien !
J'ai fait la connaissance de Jean Marc, et Martine à l'inter, et il m'a boudé quand je lui ai dit que c'était moi qui avait acheté la dallas qui trainait sur Leboncoin ^^
J'ai fait la connaissance de Jean Marc, et Martine à l'inter, et il m'a boudé quand je lui ai dit que c'était moi qui avait acheté la dallas qui trainait sur Leboncoin ^^
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Re: [récit] les ALPES 2013 en Baroud !
En effet ce récit commence bien, et il est surtout très bien écrit :wub:
Vivement la suite
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Re: [récit] les ALPES 2013 en Baroud !
Bon début de récit, ça donne envie pour la suite
Guillaume m'avait parlé de ce petit tour dans les Alpes, il m'avait même invité à passer boire l'apéro chez lui à la fin de votre voyage mais j'ai pas pu et en plus, j'ai pété un cardan AR sur ma 4l quelques jours avant alors j'avais plus envie d'entendre parler de Sinpar pour un petit moment :evil: :evil:
@+
Guillaume m'avait parlé de ce petit tour dans les Alpes, il m'avait même invité à passer boire l'apéro chez lui à la fin de votre voyage mais j'ai pas pu et en plus, j'ai pété un cardan AR sur ma 4l quelques jours avant alors j'avais plus envie d'entendre parler de Sinpar pour un petit moment :evil: :evil:
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Re: [récit] les ALPES 2013 en Baroud !
Mince alors, c'est dommage, çà nous aurait fait plaisir de te voir !
t'inquiète, çà va passer et çà ira mieux + tard enjoy !
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Re: [récit] les ALPES 2013 en Baroud !
Il est un peu plus de 9h00 ce lundi matin, et la caravane qui commence à se roder au rythme des installation et repli de campement est fin prête à suivre joyeusement nos hôtes Martine, Jean-Marc et leur petit fils à bord de la sinpar si habituée aux rallyes « Gazo » ou autres barouds de montagne
C’est bon, Pat et Lili, vous êtes prêt ?
toutes les occasions qui s’offrent pour reformer la caravane sont des prétextes aux pauses photos.
Nous en profitons pour calibrer le rythme du parcours qui sera désormais à moduler en fonction de la vélocité de la 2CV 4x4 Voisin de guillaume : 12 chevaux et une boite étagée très court limite les prétentions de vitesse, mais la bête attend son heure pour exprimer tout son potentiel !
Direction la commune de Aime, pour atteindre sans attendre les hauteurs connues par Jean-Marc pour être superbes et calibrées au périmètre de ballade de la demi-journée avant que nous poursuivions les points du road-book pendant que nos amis retrouveront leur foyer en fin d’après-midi.
L’altitude amène avec elle les promesses de dépaysement que nous sommes venus chercher dans les alpages : tout y est vert cette année un peu plus que les autres.
La neige qui s’est déposée et séjourne encore, alimente avec sa fonte de quoi entretenir les herbes grasses y compris de nombreuses cascades pour le plaisir du plus grand nombre à commencer par Lili.
en cours de route, la S128 de Mikaël décide d’avoir le hoquet, une inspection de pompe à essence s’improvise et très vite la caravane reprend la route
les sommets et routes sinueuses se déroulent devant nous.
Spécialité locale, le beaufort d’alpages et ses contraintes logistiques
les pauses photos, tout de même aussi un peu pour laisser souffler les mécaniques sont un concentré de joie de vivre
A l’approche du barrage de St Guérin, comme l’heure défile et fait se profiler l’horaire bienvenu du repas, nous choisissons de dîner au restaurant de montagne le plus proche
encore quelques pauses photos ami(e)s et panorama…
plus tard, nous redescendons dans la vallée, direction Bourg St Maurice, où nous quitterons hélas Martine et Jean-Marc après la pause carburant de rigueur.
Aux revoir échangés, nos amis préfèrent ne pas s’éterniser car la séparation ravive l’émotion.
Nous continuons donc le tracé prévu qui nous mènera ce soir vers l’Italie, mais dans un premier temps au col de l’Iseran par une triste route bitumée…
une montée sans difficulté, de la neige plein les bas-côté, nous allons forcément trouver un terrain de jeu…
qu’après un essai infructueux car trop difficile sur une zone de remontée mécanique détrempée,
nous finissons par trouver :
c’est une belle zone neigeuse sur ce tracé de pistes de ski.
nous y goûtons avec plaisir
y compris Patrick qui à préféré rester en pneus « route », alors…
un coup de main s’impose
malgré ses deux roues motrices, mais aidé par la puissance de son moteur porsche, la Baja d’Eric et Dominique survole l’obstacle dans une superbe démonstration !
des allers – retours impressionnants à voir, trop facile.
Patrick est tenté et se lance
Vite,
Moins vite,
Encore !!…
Heu…
Planté !
Hilarité générale… et on y va !
Mais le bougre s’est tout de même bien posé !
un tractage tout en puissance ne suffit pas à décoller le Flanby avec une accroche (seulement) en deux roues motrices…
du coup l’attelage prend de l’ampleur avec deux Sinpar en renfort avant pour la Baja !
Au final, il aura tout de même fallu 200 Chevaux et 10 roues motrices pour sortir le Patounet : un peu loin du patou chien de berger…
L’intermède nous suffira pour la journée, on remballe !
Andrej et Mickaël regardaient cela de loin
A l’approche du Mont Cenis, un arrêt mécanique à l’initiative de Fabrice nous stoppe quelques minutes.
Plus de clignotants, plus de phares, un beeper témoin de batterie basse qui sonne, une jauge d’essence qui vient d’afficher en une seconde un plein ressurgi par miracle.
Quelle est cette bizarrerie électrique ? je glisse à la CB un indice…
Le capot ouvert, Fabrice inspecte et se dirige index accusateur et à grand pas vers moi :
TOI !!!!!
Je m’interroge rapidement, mais en fait pas bien longtemps sur l’origine de son courroux :
Je lui avait signalé une faiblesse évidente pour mon œil exercé, à la vue le soir précédent d’un retour de masse alternateur moribond à mon goût.
Sans le savoir, j’avais raison malgré l’optimisme du « pas si malchanceux » propriétaire de cette F4 bleutée… le fil venait de casser !
Et Fabrice d’invoquer de quelconques esprits malins dans mes propos de bon sens…
Je suis derechef invectivé dans la bonne humeur à ne même plus regarder sa voiture !
Bonne rigolade en définitive.
Les kilomètres égrainés vers de nouveaux sous-bois nous amènent à franchir dans l’après midi la frontière Italienne.
Nous découvrirons par la même occasion le grand confort d’avoir dans l’équipage un Andrej polyglotte et bienveillant pour la colonie.
A l’arrivée de l’Hôtel, nous nous établissons et Guillaume en habitué prend la replanification cartographique en mains.
La salle de restaurant de l’hotel Sul Lago n’a pas changé, son personnel et ses habitudes d’habilement faire choisir un plat unique malgré la carte proposée non plus…
Nous profiterons donc sereinement de ce confort pour cette première nuit de l’aventure commencée sous de bons hospices malgré quelques renforcements mécaniques de soufflets de 2CV ou resserrages divers à prévoir.
C’est bon, Pat et Lili, vous êtes prêt ?
toutes les occasions qui s’offrent pour reformer la caravane sont des prétextes aux pauses photos.
Nous en profitons pour calibrer le rythme du parcours qui sera désormais à moduler en fonction de la vélocité de la 2CV 4x4 Voisin de guillaume : 12 chevaux et une boite étagée très court limite les prétentions de vitesse, mais la bête attend son heure pour exprimer tout son potentiel !
Direction la commune de Aime, pour atteindre sans attendre les hauteurs connues par Jean-Marc pour être superbes et calibrées au périmètre de ballade de la demi-journée avant que nous poursuivions les points du road-book pendant que nos amis retrouveront leur foyer en fin d’après-midi.
L’altitude amène avec elle les promesses de dépaysement que nous sommes venus chercher dans les alpages : tout y est vert cette année un peu plus que les autres.
La neige qui s’est déposée et séjourne encore, alimente avec sa fonte de quoi entretenir les herbes grasses y compris de nombreuses cascades pour le plaisir du plus grand nombre à commencer par Lili.
en cours de route, la S128 de Mikaël décide d’avoir le hoquet, une inspection de pompe à essence s’improvise et très vite la caravane reprend la route
les sommets et routes sinueuses se déroulent devant nous.
Spécialité locale, le beaufort d’alpages et ses contraintes logistiques
les pauses photos, tout de même aussi un peu pour laisser souffler les mécaniques sont un concentré de joie de vivre
A l’approche du barrage de St Guérin, comme l’heure défile et fait se profiler l’horaire bienvenu du repas, nous choisissons de dîner au restaurant de montagne le plus proche
encore quelques pauses photos ami(e)s et panorama…
plus tard, nous redescendons dans la vallée, direction Bourg St Maurice, où nous quitterons hélas Martine et Jean-Marc après la pause carburant de rigueur.
Aux revoir échangés, nos amis préfèrent ne pas s’éterniser car la séparation ravive l’émotion.
Nous continuons donc le tracé prévu qui nous mènera ce soir vers l’Italie, mais dans un premier temps au col de l’Iseran par une triste route bitumée…
une montée sans difficulté, de la neige plein les bas-côté, nous allons forcément trouver un terrain de jeu…
qu’après un essai infructueux car trop difficile sur une zone de remontée mécanique détrempée,
nous finissons par trouver :
c’est une belle zone neigeuse sur ce tracé de pistes de ski.
nous y goûtons avec plaisir
y compris Patrick qui à préféré rester en pneus « route », alors…
un coup de main s’impose
malgré ses deux roues motrices, mais aidé par la puissance de son moteur porsche, la Baja d’Eric et Dominique survole l’obstacle dans une superbe démonstration !
des allers – retours impressionnants à voir, trop facile.
Patrick est tenté et se lance
Vite,
Moins vite,
Encore !!…
Heu…
Planté !
Hilarité générale… et on y va !
Mais le bougre s’est tout de même bien posé !
un tractage tout en puissance ne suffit pas à décoller le Flanby avec une accroche (seulement) en deux roues motrices…
du coup l’attelage prend de l’ampleur avec deux Sinpar en renfort avant pour la Baja !
Au final, il aura tout de même fallu 200 Chevaux et 10 roues motrices pour sortir le Patounet : un peu loin du patou chien de berger…
L’intermède nous suffira pour la journée, on remballe !
Andrej et Mickaël regardaient cela de loin
A l’approche du Mont Cenis, un arrêt mécanique à l’initiative de Fabrice nous stoppe quelques minutes.
Plus de clignotants, plus de phares, un beeper témoin de batterie basse qui sonne, une jauge d’essence qui vient d’afficher en une seconde un plein ressurgi par miracle.
Quelle est cette bizarrerie électrique ? je glisse à la CB un indice…
Le capot ouvert, Fabrice inspecte et se dirige index accusateur et à grand pas vers moi :
TOI !!!!!
Je m’interroge rapidement, mais en fait pas bien longtemps sur l’origine de son courroux :
Je lui avait signalé une faiblesse évidente pour mon œil exercé, à la vue le soir précédent d’un retour de masse alternateur moribond à mon goût.
Sans le savoir, j’avais raison malgré l’optimisme du « pas si malchanceux » propriétaire de cette F4 bleutée… le fil venait de casser !
Et Fabrice d’invoquer de quelconques esprits malins dans mes propos de bon sens…
Je suis derechef invectivé dans la bonne humeur à ne même plus regarder sa voiture !
Bonne rigolade en définitive.
Les kilomètres égrainés vers de nouveaux sous-bois nous amènent à franchir dans l’après midi la frontière Italienne.
Nous découvrirons par la même occasion le grand confort d’avoir dans l’équipage un Andrej polyglotte et bienveillant pour la colonie.
A l’arrivée de l’Hôtel, nous nous établissons et Guillaume en habitué prend la replanification cartographique en mains.
La salle de restaurant de l’hotel Sul Lago n’a pas changé, son personnel et ses habitudes d’habilement faire choisir un plat unique malgré la carte proposée non plus…
Nous profiterons donc sereinement de ce confort pour cette première nuit de l’aventure commencée sous de bons hospices malgré quelques renforcements mécaniques de soufflets de 2CV ou resserrages divers à prévoir.
Dernière modification par grandlaurent le 21 août 2013, 19:06, modifié 1 fois.
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- Habitué
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Re: [récit] les ALPES 2013 en Baroud !
Génial ce récit, ça donne envie
Drive Tastefully.
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Re: [récit] les ALPES 2013 en Baroud !
Sympa ce petit réci !
Par contre il a fait comment pour se planter en sinpar dans aussi peu de neige ?! Je me revois encore avec le patch faire un démarrage dans une cote à 30% avec 20cm de neige et j'ai même pas patiné...
++
Fab
Par contre il a fait comment pour se planter en sinpar dans aussi peu de neige ?! Je me revois encore avec le patch faire un démarrage dans une cote à 30% avec 20cm de neige et j'ai même pas patiné...
++
Fab
Quand t'as un problème et que t'as pas de solutions... ba c'est que t'as pas de problème !
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- Habitué
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Re: [récit] les ALPES 2013 en Baroud !
Bah si il est posé correctement, sinpar ou pas, t'as plus d'adhérence
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Re: [récit] les ALPES 2013 en Baroud !
Par expérience, il est loin d'être posé là ^^
J'ai déjà fait bien pire et je te jure que tu peux te sortir de situations impressionnantes... il me donne plus l'impression d'avoir un moteur ou une transmission qui marche pas top... ou ses pneus c'était vraiment de la merde lol
Tiens regarde... et il est pas encore posé la mon bon Max05 ^^
++
Fab
J'ai déjà fait bien pire et je te jure que tu peux te sortir de situations impressionnantes... il me donne plus l'impression d'avoir un moteur ou une transmission qui marche pas top... ou ses pneus c'était vraiment de la merde lol
Tiens regarde... et il est pas encore posé la mon bon Max05 ^^
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Quand t'as un problème et que t'as pas de solutions... ba c'est que t'as pas de problème !
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